Socrate, Jésus, Bouddha – Trois maîtres de vie | Le Christ philosophe | Frédéric Lenoir

Résumé | Socrate, Jésus, Bouddha

La crise que nous vivons n’est pas simplement économiqueet financière, mais aussi philosophique et spirituelle. Elle renvoie à des interrogations universelles : Qu’est ce qui rend l’être humain heureux ? Qu’est-ce qui peut être considéré comme un progrès véritable ? Quelles sont les conditions d’une vie sociale harmonieuse ?Contre une vision purement matérialiste de l’homme et du monde, Socrate, Jésus et Bouddha sont trois maîtres de vie. Une vie qu’ils n’enferment jamais dans une conception close et dogmatique. Leur parole a traversé les siècles sans prendre une ride, et par-delà leurs divergences, ils s’accordent sur l’essentiel : l’existence humaine est précieuse et chacun, d’où qu’il vienne, est appelé à chercher la vérité, à se connaître dans sa profondeur, à devenir libre, à vivre en paix avec lui-même et avec les autres. Un message humaniste et spirituel, qui répond sans détour à la question essentielle : pourquoi je vis ?Philosophe et directeur du Monde des religions, Frédéric Lenoir est aussi romancier et dramaturge. Il est notamment l’auteur ou le co-auteur de La Promesse de l’ange, de Code Da Vinci, l’enquête, de L’Oracle della Luna et de la pièce de théâtre Bonté divine ! Ses ouvrages sont traduits dans une vingtaine de langues.

Résumé | Le Christ philosophe

Pourquoi la démocratie et les droits de l’homme sont-ils nés en Occident plutôt qu’en Inde, en Chine, ou dans l’Empire ottoman ? Parce que l’Occident était chrétien et que le christianisme n’est pas seulement une religion. Certes, le message des Evangiles s’enracine dans la foi en Dieu, mais le Christ enseigne aussi une éthique à portée universelle : égale dignité de tous, justice et partage, non-violence, émancipation de l’individu à l’égard du groupe et de la femme à l’égard de l’homme, liberté de choix, séparation du politique et du religieux, fraternité humaine. Quand, au IVe siècle, le christianisme devient religion officielle de l’Empire romain, la sagesse du Christ est en grande partie obscurcie par l’institution ecclésiale. Elle renaît mille ans plus tard, lorsque les penseurs de la Renaissance et des Lumières s’appuient sur la ” philosophie du Christ “, selon l’expression d’Erasme, pour émanciper les sociétés européennes de l’emprise des pouvoirs religieux et fonder l’humanisme moderne. Frédéric Lenoir raconte ici le destin paradoxal du christianisme – du témoignage des apôtres à la naissance du monde moderne, en passant par l’Inquisition – et nous fait relire les Evangiles d’un œil radicalement neuf.


À propos de l’auteur

Lenoir, Frédéric
Philosophe, historien des religions et chercheur associé à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Directeur du magazine Le Monde des religions, il est l’auteur d’essais et de romans historiques qui ont connu un succès international. Ses ouvrages sont traduits dans vingt-cinq langues.

Socrate, Jésus, Bouddha + La rencontre du bouddhisme et de l’Occident | Frédéric Lenoir

La crise que nous vivons n’est pas simplement économiqueet financière, mais aussi philosophique et spirituelle. Elle renvoie à des interrogations universelles : Qu’est ce qui rend l’être humain heureux ? Qu’est-ce qui peut être considéré comme un progrès véritable ? Quelles sont les conditions d’une vie sociale harmonieuse ?

Contre une vision purement matérialiste de l’homme et du monde, Socrate, Jésus et Bouddha sont trois maîtres de vie. Une vie qu’ils n’enferment jamais dans une conception close et dogmatique. Leur parole a traversé les siècles sans prendre une ride, et par-delà leurs divergences, ils s’accordent sur l’essentiel : l’existence humaine est précieuse et chacun, d’où qu’il vienne, est appelé à chercher la vérité, à se connaître dans sa profondeur, à devenir libre, à vivre en paix avec lui-même et avec les autres. Un message humaniste et spirituel, qui répond sans détour à la question essentielle : pourquoi je vis ?

Dans certaines cultures et à des époques marquées par le primat du groupe sur l’individu, Socrate, Jésus et Bouddha ont apporté un souffle de liberté qui a donné naissance à un homme moderne avant l’heure : un individu autonome, responsable de ses choix, mais qui doit gagner sa liberté au prix de la recherche de la vérité. Cet essai dresse le portrait de ces trois maîtres de vie.


D’Alexandre le Grand à Marco Polo, de Schopenhaeur à Nietzsche, de Jung à Alexandra David Neel, de nombreux voyageurs, penseurs et artistes occidentaux se sont passionnés pour la sagesse du Bouddha. Cet ouvrage relate les grandes étapes de la rencontre du bouddhisme et de l’Occident. Il montre combien le bouddhisme fut et reste profondément réinterprété à partir de prismes culturels déformants. Il permet aussi de comprendre pourquoi après l’échec des idéologies religieuses, scientistes et politiques, le bouddhisme connaît une audience croissante en Occident. Beaucoup voient dans cette pensée une philosophie et une éthique pertinentes pour répondre aux besoins spirituels des individus. Privilégiant l’action sur soi à l’action sur le monde, le bouddhisme pourrait être appelé à corriger les excès d’une civilisation occidentale trop préoccupée de maîtrise technique au détriment du sens et de l’intériorité.