Histoire du 8 mars | SANTÉ SIDI EL HOUARI (SDH) | Orã | Argélia

sdhLe 8 mars n’est pas « la journée de la femme », mais plutôt « la journée internationale des droits des femmes ». Pour les militant(e)s, il s’agit précisément de « la journée de lutte pour les droits des femmes ».
Le 8 mars n’est donc pas l’occasion de rappeler à votre femme ou compagne qu’elle compte beaucoup pour vous en lui offrant un bouquet de fleurs. Ce serait confondre cette journée de luttes avec la Saint-Valentin des amoureux.
Cette date sonne plutôt comme un rappel du fait que de nombreuses femmes dans le monde sont opprimées, violentées et / ou mal traitées et voient leurs droits bafoués, comme le droit à la santé, à l’éducation, à l’enseignement ou tout simplement leurs libertés.
D’après la légende, il s’agirait du 8 mars 1857, jour d’une manifestation des ouvrières américaines du textile. Petit hic : historiquement, cette manifestation n’a jamais eu lieu ! L’origine de cette journée remonte par contre aux luttes ouvrières et aux manifestations des femmes pour l’octroi du droit de vote, de meilleures conditions de travail et pour l’égalité des genres dans l’Europe du début du 20e siècle.
Ce n’est qu’en 1917 que la date du 8 est retenue, date à laquelle, cette année-là, des ouvrières de Saint-Pétersbourg ont fait la grève pour réclamer du pain et le retour de leurs maris partis à la guerre. Après 1945, cette journée devint une tradition dans de nombreux pays du monde.
Faisons de cette journée, le point de départ d’un long combat qui ne cessera que le jour ou toutes les femmes du monde aient leurs droits.

A Reforma do Parlamento Português, de António José Seguro

PrintO livro de António José Seguro aborda, de forma pioneira e com minúcia de dados, um tema fundamental no funcionamento das democracias de hoje, e da portuguesa especialmente – o do controlo do Governo perante o Parlamento e, consequentemente, o do poder relativo de que as maiorias e minorias (ou da maioria e da oposição) dispõem no hemiciclo.

No presente quadro parlamentar saído das últimas eleições legislativas e, ao mesmo tempo, assinalando os 40 anos da Assembleia da República, este livro de António José Seguro é mais atual do que nunca.

Lançamento no dia 10 de março, às 18h30, no Auditório 2 da Universidade Autónoma de Lisboa. O livro será apresentado por Viriato Soromenho-Marques. A sessão conta com intervenções de André Freire e Manuel Meirinho Martins.

«Muito bem ancorado teoricamente, o trabalho de António José Seguro permite demonstrar que a tese sobre o declínio dos parlamentos […] é no mínimo parcial.»
André Freire, Professor Associado com Agregação em Ciência Política do ISCTE-IUL

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