Pourquoi les femmes kabyles portent elle Amendil ?(foulard kabyle) | Fadette Aiache

Selon la légende, l’histoire débute dans les montagnes de Tiggoura au nord de la ville de Bejaïa , des cavaliers faisaient le tour de la région à cheval , malheureusement ils se sont piégés dans un torrent terrible celui de Bousallem ou une avalanche d’eau surpuissante s’abattait sur eux . Pour essayer de s’en sortir ils decidèrent de s’accrocher les uns aux autres. Pris de panique ils crièrent “À l’aide ! À l’aide”. Par chance un groupe de femmes aux longues tresses étaient en train de ceuillir des olives non loins de là. En kabylie durant cette période avoir de long cheveux étaient un signe de beauté . Elles accoururent et les vies ensanglantés , écorchés , elles décidèrent donc de couper leur grandes et magnifique tresses et d’en faire une longue corde afin que les cavaliers puissent s’échapper du torrent. En kabylie les cheveux de la Femme sont sublimés , on leur donne encore aujourdhui beaucoup d’admiration. Depuis cette histoire les femmes kabyles se couvrent La tête ( ce n’est donc pas un signes religieux ) pour protéger du froid , des cassures ou de la chaleur du soleil en été. Le foulard est admirablement porté avec un noeud sur le côté , un pan derrière qui laisse apparaître la longue tresse de la femme.

Fadette Aiache

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Femme | auteur inconnu , texte qui traîne sur le net | Mur de Fadette Aiache

Femme, j’ai tant de choses à te dire,
Qu’il me faudrait un livre pour l’écrire.
Une vie ne suffit pas, et encore plus de temps,
Car tu portes en toi tout ce que je ressens.
Femme tendresse, femme douceur,
Femme tempête, femme douleur,
Il me faudrait tout le dictionnaire
Pour parler de toi, en rimes et en vers.
.
Tu es le commencement et la fin.
Tu es l’aboutissement, soir et matin.
Tu es l’émotion, la finesse, la vie.
Tu es tout ce que je ne suis pas, je t’envie.
Tu es l’avenir de l’humanité,
Car tu portes en toi l’éternité.
.
Femme d’amour, tu donnes la vie.
Femme de cœur, tu donnes l’amour.
Femme sensible, fragile, forte,
J’attends tout de toi, ouvres-moi ta porte.
Fais-moi une place dans ton cœur.
Offre-moi tout de toi et plus encore.
Femme battue, maltraitée,
.
Femme outragée, mal aimée,
J’aimerais tant te protéger,
Pour pouvoir tout te donner.
Femme courage, tu es admirable.
Femme aimable, tu es remarquable.
.
Tu es, parfois, imprévisible, charmante,
Tellement troublante, émouvante.
Femme au regard si doux, si profond,
Je me plonge dans tes yeux jusqu’au fond,
Recherchant l’insondable, l’innommable.
S’il t’arrive de pleurer, je me sens minable.
Femme, ces colères que je redoute
Lorsque tes yeux lancent des éclairs,
.
J’apprécie pourtant, lorsque tu doutes,
Ton émotion, quoi qu’il t’en coute.
Femme, du fond de ma solitude,
J’ai besoin de ta sollicitude,
.
De ta douceur, de tes caresses,
De ton affection et de ta tendresse.
Femme heureuse, complice de mes bonheurs,
Femme amoureuse, tu supportes mes humeurs.
Et lorsque surviennent orage et malheur,
Tu gémis, tu souffres… pire tu pleures.
.
Femme tu me désarmes,
Alors je rends les armes.
Sans toi je l’avoue, je ne suis rien.
Tu le sais, de toi j’ai tant besoin.
Dis-moi encore qui es-tu ?
( auteur inconnu , texte qui traîne sur le net)

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